A l’heure des start-up, d’Internet et de la mondialisation, est-il possible, pour une entreprise, de ne pas chercher à s’exporter ? Le territoire national est-il suffisant à la pérennisation de l’activité ? Le développement du chiffre d’affaires passe-t-il par l’internationalisation ? Cependant, est-ce que se projeter au-delà de ses frontières est une ambition inscrite dans l’ADN de toutes les entreprises ? Nous allons tenter d’apporter un éclairage à ces questions.
L’internationalisation, un relai de croissance
Le « succès » d’une entreprise est aujourd’hui synonyme de la portée mondiale de son activité, de ses produits.
Les échanges internationaux ouvrent la voie à de nouvelles opportunités, de nouveaux marchés. Un véritable relai de croissance pour les entreprises qui ont su profiter des opportunités offertes par l’export. Par exemple, Coca-Cola, Nike ou encore Samsung ont su faire fructifier leurs commerces.
Il est important de noter que l’internationalisation va dépendre de l’activité de l’entreprise. En effet, ces dernières années, on a pu remarquer que les entreprises proposant des services de hautes technologies et/ou dématérialisés, ont plus de facilitées à s’exporter (pas de problème logistique…).
Les start-up : des licornes pas comme les autres
Les fameuses « start-up » sont généralement des exceptions. Nées dans une société hyper-connectée et mondialisée, l’internationalisation est inscrite dans leur ADN. Avant même d’être créées, les start-up pensent « global ».
Pourtant, encore peu d’entre elles peuvent se vanter d’un succès mondial.
Pour résumer
Se tourner vers l’international n’est pas chose facile pour toutes les entreprises. Même si l’époque dans laquelle nous vivons a bouleversé les règles de l’économie et de l’entreprise, toutes les activités entrepreneuriales n’ont pas vocation à s’exporter. Les licornes restent des espèces rares…